Le Rapport d’activité 2016 est en ligne

C'est par un éditorial à deux voix que s'ouvre le Rapport d'activité 2016 de MINES ParisTech.

Vincent Laflèche, directeur de MINES ParisTech souligne que « l'international et l'entrepreneuriat restent des axes pédagogiques forts ».

Jacques Aschenbroich, PDG de Valeo, président de son Conseil d'administration, invite l'École à « mobiliser ses compétences au service des grands enjeux de notre société et de nos entreprises ».

Le RA 2016 est à feuilleter ici, dans sa version enrichie de liens cliquables et de vidéos à visionner en ligne.


Recherche : l’École dans le Top 500 mondial

Publié chaque année au mois d'août, depuis 2003, le classement des 500 meilleures universités mondiales, établi par l’Université Jiao Tong de Shanghaï fait apparaître la France au 6e rang mondial, avec 20 établissements classés. MINES ParisTech, dans la tranche des 401-500 meilleures "universités" mondiales, figure au nombre des 20 meilleurs établissements français, tout comme l'École polytechnique.

> Pour en savoir +: lire l'article de Sciences et Avenir

Les critères d'évaluation du classement de Shanghaï

Le classement de Shanghaï ou Academic Ranking of World Universities (ARWU) recense :

  • le nombre de diplômés (alumni) ayant reçu un prix Nobel ou une médaille Fields (10 % de la note)
  • le nombre d'enseignants-chercheurs en exercice, titulaires d'un prix Nobel d'ou une médaille Fields (20 %)
  • le nombre de publications, dans l'année précédant le classement, dans les revues anglophones, Nature et Science (20 %) et les citations de ces articles (20 %)
  • le nombre de publications rattachées à l'université  (20 %)
  • la performance, rapportée au nombre d'enseignants-chercheurs (10 %)

Accéder à la méthodologie

MINES ParisTech, un établissement fameux pour sa recherche

Ce classement qui se concentre sur les performances de la recherche, sans prendre en compte la qualité de l'enseignement, met en relief l'intense activité menée par nos chercheurs.
À MINES ParisTech, c'est le partenariat étroit avec le monde de l'entreprise qui est le moteur de nombreuses avancées scientifiques. Le MINES ParisTech Research Day qui s'est tenu le 6 juin dernier, témoigne de cette dynamique. Chercheurs confirmés, jeunes créateurs de start-up, doctorants ont ainsi échangé avec des industriels et des business angels…
Retour en images sur cet événement :


Le Rapport d’activité 2015 est paru

« Dans toutes ses activités, l'École est marquée par la volonté d'innover et d'entreprendre » souligne  Romain Soubeyran, directeur de MINES ParisTech dans l'éditorial du Rapport d'activité 2015

  • Nous vous invitons à le feuilleter ici, dans sa version enrichie de liens cliquables et de vidéos à visionner en ligne.
  • Découvrez également MINES ParisTech en un clin d'œil et en 13 chiffres clés


L’École dans les Top 100, 150 & 300 des classements thématiques de Shanghaï

Parus le 15 juin 2016, les premiers classements thématiques en ingénierie, établis par l’université Jiao Tong de Shanghaï, font ressortir MINES ParisTech dans les meilleurs établissement mondiaux dans 5 disciplines sur 7.

Le nouveau "ShanghaiRanking's Global Ranking of Academic Subjects" évalue la qualité de la recherche selon un certain nombre de critères dont :

  • le  nombre de publications et la fréquence de leur citation,
  • le taux de co-publication avec des académiques d’autres pays, ou des industriels,
  • ou encore le nombre de prix reçus par les chercheurs de l’établissement dans la thématique.

> En savoir plus sur la méthodologie

 

 


Classement Times Higher Education 2016-2017

MINES ParisTech se retrouve au sein des meilleurs établissements mondiaux, selon le classement 2016-2017 du Times Higher Education (THE) .

Si les positions françaises sont globalement en baissse dans cette nouvelle édition, l'École y retrouve sa place dans les 251-300e rang mondiaux et se classe au 9e rang national.

On note la présence de 5 Grandes écoles dans le "Top 10" des établissements français. Selon Phil Baty du THE, cela s'explique notamment par "leur capacité à collaborer avec des chercheurs dans le monde entier".
Il souligne par ailleurs que "MINES ParisTech est l'un des meilleurs établissements du monde pour attirer l'argent du secteur industriel."

La méthodologie du THE inclut treize indicateurs de performance répartis dans cinq catégories :

  • l'enseignement : environnement pédagogique (30%) ;
  • la recherche : volume, financement et réputation (30%) ;
  • l'impact des citations : influence sur la recherche (30%) ;
  • la dimension internationale : pourcentage d'étrangers au sein du personnel académique
    et des étudiants (7,5%) ;
  • le financement par l'industrie et l'innovation (2,5%).

> Voir la page du THE  consacrée à MINES ParisTech
> Lire l'analyse de Baptiste Legout sur EducPros.fr


Une école très prisée par les recruteurs

L'édition 2016 du Global Employability University Ranking, publiée le 16 novembre par le Times Higher Education, fait apparaître MINES ParisTech comme la 1re école d'ingénieurs française, du point de vue des recruteurs.
Ce palmarès mondial des universités et grandes écoles démontre les excellentes performances de la France. En termes d'employabilité de ses étudiants, elle arrive en 2e position (ex aequo avec le Royaume-Uni et l'Allemagne), derrière les EU, avec 11 établissements dans le Top 150 et 6 dans le Top 50.

L'école d'ingénieurs préférée des recruteurs

MINES ParisTech, 36e, est devancée, cette année, par les écoles de commerce HEC (21e) et l'EM Lyon (26e), qu'elle précédait l'an dernier. Devant Centrale Supélec (42e) et Polytechnique (43e) , elle demeure cependant l'école d'ingénieurs préférée des recruteurs mondiaux. Et la 1re du Top 10 des recruteurs français (comme le souligne Le Monde) !

Etablissements Classement
2016
Classement
2015
HEC 21 25
EM Lyon 26 64
ENS Paris 33 13
MINES ParisTech 36 22
Centrale Supélec 42 35
Polytechnique 43 36
Essec 74 65
Université Pierre et Marie Curie 87 105
Sciences Po 97 136
Université Paris Sud 113 115
Edhec 132 Abs

> Pour en savoir + :


L’EnaMoMa, pas encore reconnue, mais déjà très attendue

Entre les Mines et les Arts Déco, le partenariat n'est pas nouveau avec, notamment, une formation commune sur la couleur qui a démarré il y a 15 ans.
Idem, entre les Mines et Dauphine, qui cohabilitent le Master MTI (Management de la Technologie et de l'Innovation).
Aujourd'hui réunies au sein de PSL, les trois partenaires lancent une nouvelle grande école et ambitionnent de former les créateurs de mode de demain. Pour Julien Bohdanowicz, ils se caractériseront par « la capacité à être en rupture ».

MINES ParisTech ou l'ingénierie pédagogique

C'est en 2015, lors d'un Comité de pilotage de PSL que l'idée d'une nouvelle école a été lancée, par le directeur de l'Ensad, Marc Partouche. D'emblée, l'association des trois univers s'est imposée. À la création artistique et au design, intégrer la stratégie et le marketing, enseignés à Dauphine, et incorporer la « dimension ingénieur ».
Ce que MINES ParisTech va apporter ?
L'impression 3D, les matériaux, l'innovation liée au textile, et aussi, les systèmes de production et de logistique, adaptés aux petites séries… Domaines de recherche où les compétences des laboraoires de l'école d'ingénieurs jouissent d'une réputation internationale.
Ses deux partenaires lui délèguent aussi le management du projet. Et Julien Bohdanowicz, fort de son expérience avec la création de ParisTech Shanghai Jiao Tong, en 2012, se chargera d'élaborer un programme pédagogique accepté par les trois écoles…

Deux ans pour former des créateurs hors normes

La formation de Master, est limitée, à l'ouverture, à un très petit nombre d'élèves (15 seulement), ce qui permettra de « bien les suivre ».
La 1re année de cours, dans les locaux de l'Ensad, où tous les ateliers sont accessibles au même endroit. Et la 2e année, entièrement dédiée au grand projet de l'étudiant, incité à travailler en quasi autonomie, en utilisant les ressources des trois écoles. « L'accompagnement d'un étudiant qui se construit lui-même son univers», c'est là un mode d'éducation familier pour tous les enseignants-chercheurs de MINES ParisTech. Qu'il s'agisse des MIG, de l'Acte d'entreprendre, des projets de mécatronique, ou encore du stage de géologie, on bouscule aisément les habitudes, les horaires et les programmes. Et l'École s'apprête à mettre toutes ses compétences au service d'une certaine idée du futur, où les nouvelles technologies et les recherche de pointe en sciences de l'ingénieur permettront de revivifier le secteur de la mode et du luxe.

Des modules trans-écoles : la fertilisation croisée des univers

Sauf exception, on ne verra pas immédiatement des élèves des Mines postuler pour entrer à l'EnaMoMa. Mais cette école, qui aura bientôt son identité propre, a vocation à enrichir les cursus de formation offerts à nos futurs ingénieurs. « Les mettre en contact avec des étudiants, issus d'autres formations et d'autres origines, c'est la meilleure chose qu'on puisse leur offrir ! »

Des modules trans-écoles sont ainsi prévus pour que futurs créateurs, ingénieurs et managers travaillent ensemble pour répondre à des questions soulevées par des entreprises.

La formule a déja été testée tout au long de l'année 201-2017, avec une vingtaine d'élèves volontaires des Arts Déco, des Mines et de Dauphine. Un groupe a travaillé sur une demande de la Croix Rouge, un autre pour Agnès B et le 3e, autour d'un texte du poète portuguais Fernando Pessoa.

> Pour en savoir plus :

 


MINES ParisTech dans le Top 15 !

Quelles sont les universités les plus innovantes ?

Cet été le journal britannique Times Higher Education (THE) a décidé de mettre un coup de projecteur sur les "innovations et inventions au sein du monde universitaire".

Les partenariats université-industrie s'intensifient, relève le THE. Les institutions d'enseignement supérieur du monde entier cherchent à améliorer leur recherche, à trouver de nouvelles applications pour leurs découvertes et de nouvelles sources de revenus.
Par ailleurs, l'impact de ces innovations et inventions sur l'économie et la société en général n'a jamais été aussi important.
D'où l'idée de créer un nouveau classement. Son objectif ? Classer les établissements d'enseignement supérieur et de recherche selon 4 critères de performance.

Les quatre indicateurs de l'innovation

  • 1- Pourcentage d'articles en co-signature avec des industriels (Industry collaboration)
  • 2 – Proportion d'articles cités dans des brevets (Patents citations)
  • 3 – Montant des ressources générées par la recherche avec l'industrie (Resources from industry)
  • 4 – Proportion des ressources générées par la recherche avec l'industrie (Industry contribution)

MINES ParisTech et Centrale Lyon sont les seuls établissements tricolores présents dans le 'Top 15" des champions mondiaux de l'innovation.

L'École des mines se distingue selon les indicateurs de publications avec l'industrie (critère 1) et de ressources (critère 4). Ces résultats valent à Damien Goetz directeur de la recherche, d'être largement cité par Ellie Bothwell, l’auteur de l’enquête.
Pour Damien Goetz, entre autres avantages, le partenariat avec l'industrie nous protège du risque d'avoir une recherche trop académique, trop éloignée de la vie réelle et des applications à inventer pour le futur.

À l’échelle mondiale, la Chine et les États-Unis sortent grands vainqueurs de cette nouvelle évaluation avec respectivement 10 et 9 établissements classés.

> Consulter l’enquête du THE (en anglais)

> MINES ParisTech dans les derniers classements


 


Dans le Top 25 des recruteurs

4 500 recruteurs mobilisés

Quels sont les universités et établissements d'enseignement supérieur et de recherche les plus performants en termes d'employabilité de leurs étudiants ? Pour le savoir, le cabinet français de conseil en ressources humaines, Emerging, et l'institut de sondage allemand, Trendence, se sont tournés du côté des recruteurs. En 2011, ils lancent le Global Employability University Ranking. Leur palmarès se fonde sur un questionnaire envoyé chaque année à plus de 4 500 recruteurs dans 21 pays. Il permet de couvrir 80% de la population mondiale et d'examiner le cursus de 150 universités.

Les trois grands atouts de MINES ParisTech

Universités et grandes écoles françaises ont une grande attractivité pour les employeurs. Dans l'édition 2015, la France arrive en 3e position après les États-Unis et l'Angleterre, avec 10 établissements classés, dont 5 dans le Top 50. 
MINES ParisTech a fait un bond de 20 places, par rapport à 2014, arrivant en 2e position au plan national, derrière l'ENS.  Elle est suivie par HEC, Centrale et Polytechnique.

Le magazine Times Higher Education analyse ce succès en trois points :

•    les élèves effectuent au moins 560 heures de stage au cours de leurs trois années d'études ;
•    ils doivent réaliser des projets collectifs dans lesquels chacun assume une responsabilité particulière comme, il le ferait en milieu professionnel ;
•    ils bénéficient d'un coaching individuel pour les aider à choisir leur futur emploi…

La journaliste Elie Bothwell donne la parole à Jérôme Adnot, directeur de l'enseignement à MINES ParisTech, qui précise que la moitié du budget de la recherche de l'École provient des contrats avec l'industrie. Et qui ajoute : "quand nos étudiants mènent des projet au labo, ils prennent conscience de l'état actuel de la recherche et du développement dans les entreprises". Un plus assurément quand on se présente sur le marché de l'emploi !
D'ailleurs, avant de quitter l'École, "chaque étudiant a reçu six offres d'emploi et la moitié de la promo a signé son premier contrat de travail".

> Lire l'article du Times Higher Education
> En savoir plus sur Emerging et accéder au classement…

 


Classement mondial par discipline : MINES ParisTech au top 50 !

À la 23e place mondiale

Le QS World University Rankings by subject est paru le 22 mars 2016. 42 disciplines dans 5 grands champs de la connaissance ont été choisies par le bureau d'études britannique Quacquarelli Symonds (QS) pour établir un palmarès mondial des universités et des grandes écoles. L'édition 2016 s'est enrichie de 6 nouvelles disciplines, dont l'Ingénierie minière (Mineral and mining engineering) ce qui vaut à  MINES ParisTech d'entrer pour la première fois dans ce classement. L'École en excellente position – 23e mondiale – est seul établissement français à figurer dans le top 50 de cette "catégorie".

Parmi les écoles membres de PSL, signalons également la présence du Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris, à 12e place dans la "catégorie" des Arts vivants (nouvellement intégrée au classement QS) et de l'École normale supérieure (ENS Ulm), 24e pour la Philosophie, 27e pour les Mathématiques (Polytechnique étant à la 18e place)

QS fonde son étude sur 3 critères :

  •  la réputation académique évaluée d'après les réponses de 76 798 universitaires du monde entier
  •  le point de vue des recruteurs : 44 426 réponses
  •  l'impact de la recherche : mesuré selon le volume des publications et les citations dans les revues scientifiques

> Pour aller plus loin :