Dans le Top 25 des recruteurs

4 500 recruteurs mobilisés

Quels sont les universités et établissements d'enseignement supérieur et de recherche les plus performants en termes d'employabilité de leurs étudiants ? Pour le savoir, le cabinet français de conseil en ressources humaines, Emerging, et l'institut de sondage allemand, Trendence, se sont tournés du côté des recruteurs. En 2011, ils lancent le Global Employability University Ranking. Leur palmarès se fonde sur un questionnaire envoyé chaque année à plus de 4 500 recruteurs dans 21 pays. Il permet de couvrir 80% de la population mondiale et d'examiner le cursus de 150 universités.

Les trois grands atouts de MINES ParisTech

Universités et grandes écoles françaises ont une grande attractivité pour les employeurs. Dans l'édition 2015, la France arrive en 3e position après les États-Unis et l'Angleterre, avec 10 établissements classés, dont 5 dans le Top 50. 
MINES ParisTech a fait un bond de 20 places, par rapport à 2014, arrivant en 2e position au plan national, derrière l'ENS.  Elle est suivie par HEC, Centrale et Polytechnique.

Le magazine Times Higher Education analyse ce succès en trois points :

•    les élèves effectuent au moins 560 heures de stage au cours de leurs trois années d'études ;
•    ils doivent réaliser des projets collectifs dans lesquels chacun assume une responsabilité particulière comme, il le ferait en milieu professionnel ;
•    ils bénéficient d'un coaching individuel pour les aider à choisir leur futur emploi…

La journaliste Elie Bothwell donne la parole à Jérôme Adnot, directeur de l'enseignement à MINES ParisTech, qui précise que la moitié du budget de la recherche de l'École provient des contrats avec l'industrie. Et qui ajoute : "quand nos étudiants mènent des projet au labo, ils prennent conscience de l'état actuel de la recherche et du développement dans les entreprises". Un plus assurément quand on se présente sur le marché de l'emploi !
D'ailleurs, avant de quitter l'École, "chaque étudiant a reçu six offres d'emploi et la moitié de la promo a signé son premier contrat de travail".

> Lire l'article du Times Higher Education
> En savoir plus sur Emerging et accéder au classement…

 


I3, la nouvelle UMR 9217 du CNRS

En 2015, l’Institut interdisciplinaire de l’innovation (i3) a été reconnu par le CNRS comme Unité Mixte de Recherche (UMR). Ce label est accordé pour une durée de cinq ans renouvelables. Il donne la possibilité aux laboratoires, dont la valeur scientifique est incontestable, de se voir affecter des chercheurs, des ingénieurs, des techniciens ou des administratifs du CNRS.

Pionnier de l'innovation

Pour MINES ParisTech, Télécom ParisTech et Polytechnique, les trois grandes écoles qui composent i3, le fait de devenir une UMR va permettre à l'Institut de se positionner comme "la" référence au niveau national et international, en matière de recherche sur l'innovation.

Créé en 2012 à l’instigation des directeurs de MINES ParisTech et de Télécom ParisTech, i3 réunissait au départ l’ensemble des équipes de recherche de MINES ParisTech en économie, gestion et sociologie (CERNA, CGS, CSI)  et celles du Département Sciences économiques et sociales (SES) de Télécom ParisTech. L’institut a été élargi en 2014 pour intégrer le CRG, le laboratoire de recherche en gestion de l’École Polytechnique.
Les équipes réunies ont joué ces dernières années un rôle pionnier dans l’analyse et la modélisation des processus d’innovation. Ensemble, elles occupent une position incontestée dans le monde académique : la théorie de l’acteur-réseau, la théorie C-K de la conception sont internationalement reconnues. Les travaux sur les stratégies d’innovation des firmes, les régimes de la conception, les usages de la propriété intellectuelle, les effets des NTIC dans les processus d’innovation sont aujourd’hui largement diffusés et enseignés dans de grandes universités étrangères.

Le nouvel ensemble regroupe plus de 200 personnes dont plus de 70 enseignants chercheurs permanents et plus d’une centaine de doctorants. La réunion des équipes de recherche au sein d’un même institut vise aujourd’hui à :
•    articuler les recherches sur le thème de l’innovation et intensifier les coopérations en matière de recherche, d’animation scientifique et d’enseignement ;
•    améliorer la visibilité des équipes, favoriser leur internationalisation et dynamiser leurs performances académiques ;
•    renforcer la valorisation des résultats de la recherche et le dialogue avec les décideurs publics et privés.
•    consolider et étendre le rayonnement des travaux portant sur l’innovation qui, sous toutes ses formes – techniques, économiques, organisationnelles, institutionnelles et sociales –, constitue un objet de recherche partagé par les équipes associées.

Les recherches, animées par des équipes pluridisciplinaires, sont regroupées autour des quatre thématiques suivantes : Théories et méthodes de la conception ; Organiser l’innovation ; Réguler l’innovation et Partager l’innovation.

À propos d'i3

L’institut est dirigé par Hervé Dumez (CRG – Polytechnique), avec l’appui d’un comité exécutif regroupant les animateurs des thématiques et les directeurs des équipes. Blanche Segrestin (CGS – MINES ParisTech) est l’adjointe du directeur, chargée des relations avec la direction des Mines. L’institut s’est par ailleurs par doté d’un conseil de laboratoire (représentants des personnels) et d’un conseil d’orientation (personnalités académiques extérieures et représentants du monde socio-économique (entreprises, associations, administration).

> En savoir plus sur i3 : http://www.i-3.fr/

 


Classement mondial par discipline : MINES ParisTech au top 50 !

À la 23e place mondiale

Le QS World University Rankings by subject est paru le 22 mars 2016. 42 disciplines dans 5 grands champs de la connaissance ont été choisies par le bureau d'études britannique Quacquarelli Symonds (QS) pour établir un palmarès mondial des universités et des grandes écoles. L'édition 2016 s'est enrichie de 6 nouvelles disciplines, dont l'Ingénierie minière (Mineral and mining engineering) ce qui vaut à  MINES ParisTech d'entrer pour la première fois dans ce classement. L'École en excellente position – 23e mondiale – est seul établissement français à figurer dans le top 50 de cette "catégorie".

Parmi les écoles membres de PSL, signalons également la présence du Conservatoire national supérieur de musique et de danse de Paris, à 12e place dans la "catégorie" des Arts vivants (nouvellement intégrée au classement QS) et de l'École normale supérieure (ENS Ulm), 24e pour la Philosophie, 27e pour les Mathématiques (Polytechnique étant à la 18e place)

QS fonde son étude sur 3 critères :

  •  la réputation académique évaluée d'après les réponses de 76 798 universitaires du monde entier
  •  le point de vue des recruteurs : 44 426 réponses
  •  l'impact de la recherche : mesuré selon le volume des publications et les citations dans les revues scientifiques

> Pour aller plus loin :

 


Prix Turgot 2016 : Pierre-Noël Giraud, économiste distingué

La cérémonie s'est déroulée à Bercy, le 31 mars 2016 en présence du ministre de l’Économie, de l'Industrie et du Numérique, Emmanuel Macron. Des professionnels de la finance, de l’économie et des personnalités des universités, des entreprises et des banques participaient à cet événement.

  • Le Lauréat 2016 est Gaspard Koenig pour « Le révolutionnaire, l’expert et le geek  – Combat pour l'autonomie » (Éditions Plon)
  • Le Prix spécial du jury revient à Alexandre Andlauer et Christophe Hecker auteurs de « Gaz et pétrole de schiste  – Révolution planétaire et déni français » (Éditions Laffont)
  • Le Grand prix d’honneur est décerné à Pierre-Noël Giraud pour l’ensemble de son œuvre.

> Découvrir lintégralité du palmarès 2016 sur le site du ministère de l'Économie

Pierre-Noël Giraud, professeur d'économie et auteur reconnu

Pierre-Noël Giraud, ingénieur général du Corps des mines, enseigne l'économie à MINES ParisTech et à l'Universté Paris Dauphine. Ses sujets de recherche portent sur la globalisation et les inégalités et les ressources naturelles et commodités.

Auteur en 2015 de « L’homme inutile – Du bon usage de l'économie » (Éditions Odile Jacob), Pierre-Noël Giraud est par ailleurs le lauréat du Prix Turgot 2001 pour son livre « Le commerce des promesses ».

Consulter sa page sur le site du CERNA MINES ParisTech

> En savoir plus sur le Prix Turgot

 

 

 


Bruno Latour reçoit le prix Holberg

La Fondation Holberg, qui récompense chaque année des personnalités reconnues dans le domaine des sciences humaines et de la sociologie, vient d’annoncer l’attribution de son prix 2013 à Bruno Latour, sociologue et anthropologue.

Conçu comme "le Nobel des arts et des sciences humaines et sociales", ce prix est remis à des figures intellectuelles de premier plan.

Bruno Latour est distingué pour sa contribution à la modernisation des sciences humaines et ses travaux en faveur d’une meilleure compréhension des questions de légitimité politique et de droits juridiques.

MINES ParisTech s’en trouve honorée et se félicite d’avoir été, pendant plus de vingt ans, le théâtre des recherches et de l’enseignement de ce penseur hors pair.

La cérémonie de remise du prix est prévue pour le 5 juin à Bergen en Norvège.

Site officiel du Prix Holberg

Site de Bruno Latour


MINES ParisTech : un Rapport d’activité en “”rich media””!

"L'École dispose de bases solides pour affronter les défis à venir", souligne Romain Soubeyran, directeur de MINES ParisTech dans son éditorial.

Partez à la découverte de l'offre de formation de l'École, de ses 18 centres de recherche et leurs projets les plus significatifs. Retrouvez aussi les chiffres clés de l'École, ou encore les faits marquants de l'année écoulée et les récompenses obtenues par ses chercheurs en 2012.
 

Visionnez le Rapport 2012…

Accédez aux Rapports d'activité des années précédentes…


Remise du Prix Maurice Allais de Science Économique

Trois lauréats et deux nominés

Le Prix Maurice Allais 2013 a été décerné conjointement à M. le Pr. Roger Farmer, Distinguished Professor, University of California and Senior Norman-Houblon Fellow, Bank of England, Mme Carine Nourry, Professeure à l’Université d’Aix-Marseille, GREQAM, I.U.F et M. Alain Venditti, Directeur de Recherche au CNRS, GREQAM-Université d’Aix-Marseille et Professeur Affilié à l’EDHEC, pour leur article intitulé "The Inefficient Markets Hypothesis : Why financial markets do not work well in the real world", accepté pour insertion dans la série 2012 des documents de travail du Bureau National de la Recherche Economique américain ("NBER Working Papers Series").

Deux autres candidats ont par ailleurs été nominés par le Jury :

M. le Pr. Alfred Galichon, Professeur à l’Institut d’Etudes Politiques de Paris, pour son article intitulé "Dual theory of choice with multivariate risks", publié en 2012 en collaboration avec Mark Henry dans le "Journal of Economic Theory" ;

M. le Pr. Philippe Mongin, Directeur de Recherche au CNRS, Professeur à H.E.C., pour sa contribution intitulée "Duhemian Themes in Expected Utility Theory", publiée en 2009 dans "French Studies in the Philosophy of Science", sous la direction d'A. Brenner et J. Gayon, "Boston Studies in the Philosophy of Science".

Promouvoir la recherche en économie

Ce Prix est décerné par la Fondation Maurice Allais, fondation créée en mémoire de ce grand économiste à l’initiative de sa fille Christine Allais. La Fondation Maurice Allais est abritée par la Fondation ParisTech, fondation reconnue d’utilité publique dédiée à l’enseignement supérieur et à la recherche.

Au-delà de sa volonté d’honorer et de perpétuer la mémoire d’un des plus grands noms de la pensée économique française, la Fondation Maurice Allais vise, à travers ce Prix, à favoriser le prolongement de son œuvre en aidant à orienter et à promouvoir la recherche en économie dans la direction qu’il a tracée et suivie durant toute sa vie : application d’une véritable approche scientifique à l’analyse des questions économiques et refus de toute démarche explicative fondée sur des a priori idéologiques ou conceptuels quels qu’ils soient.

Le Jury du Prix est constitué par le Conseil scientifique de la Fondation Maurice Allais, présidé par le Pr. Bertrand Munier, Professeur émérite de l’IAE de Paris (Université de Paris 1), International Affiliate Professor au Polytechnic Institute de New-York, entouré de deux présidents d’honneur, MM. Marcel Boiteux et Jean-Claude Trichet.

 Maurice Allais, qui a été professeur à l’École des Mines de Paris (aujourd'hui dénommée MINES ParisTech) de 1944 à 1988, est une figure éminente de cette institution qui conserve son empreinte.

Pour en savoir plus...

 

 


MINES ParisTech dans le Top 200 !

MINES ParisTech entre dans le Top 200 des meilleurs établissements mondiaux, selon le classement 2013 du Times Higher Education (THE) (*).

L'an dernier, l'École d'ingénieurs entrait pour la première fois dans ce classement prestigieux où elle figurait dans les 226 à 250 rangs (sur 400). Son score, cette année, est d'autant plus remarquable que les universités françaises ont tendance à perdre du terrain.

La méthodologie du THE inclut treize indicateurs de performance répartis dans cinq catégories :

  • l'enseignement : l'environnement d'étude (30%) ;
  • la recherche : volume, financement et réputation (30%) ;
  • l'impact des citations : l'influence sur la recherche (30%) ;
  • le taux d'internationalisation : pourcentage d'étrangers au sein du personnel académique
    et des étudiants (7,5%) ;
  • le financement par l'industrie : l'innovation (2,5%).

(*) Le Times Higher Education (THE), hebdomadaire consacré à l'enseignement supérieur, publie chaque année à l'automne, depuis 2004, un classement des meilleures universités mondiales.
Le journal britannique exclut de son champ les universités qui n'ont pas de premier cycle, celles qui n'enseignent que dans un « domaine très spécialisé », et celles dont la production en recherche a été inférieure à 1 000 articles entre 2007 et 2011.

Voir la page consacrée à MINES ParisTech


Rapport d’activité 2013

"De nouvelles opportunités apparaissent, qui vont permettre à l'École de valoriser encore davantage son rôle de passeur de science", annonce Romain Soubeyran, directeur de MINES ParisTech dans son éditorial.

Partez à la découverte de l'offre de formation de l'École, de ses 18 centres de recherche et leurs projets les plus significatifs. Retrouvez aussi les chiffres clés de l'École, ou encore les faits marquants de l'année écoulée et les récompenses obtenues par ses chercheurs en 2013.
 

Visionnez le Rapport  d'activité 2013

Accédez aux Rapports d'activité des années précédentes…


Pierre Laffitte, Sophia Antipolis et l’École des mines de Paris, le secret du succès

La cérémonie d'anniversaire a été préparée, en secret, par la Fondation Sophia Antipolis, en partenariat avec le magazine Sophia Mag. Convié pour une « réunion de travail », dans les locaux de MINES ParisTech, Pierre Laffitte a été accueilli par une standing ovation. Dans l'amphi Mozart, ses amis de tous bords – chefs d'entreprises, artistes, directeurs de grandes écoles, professeurs, chercheurs et élus locaux – sont venus évoquer le passé et parler d'avenir. Impossible de retracer ici ses multiples engagements, une thèse n'y suffirait pas ! La célébration de ses 90 printemps a heureusement permis de remettre en lumière les innombrables facettes d'une personnalité visionnaire.
Sans lui, comment imaginer ce que serait MINES ParisTech aujourd'hui ?

Audace et vision

Polytechnicien, Pierre Laffitte intègre le corps des Mines, en 1947. En 1963, il est nommé sous-directeur de l'École des mines de Paris, puis directeur de 1974 à 1984. Il poursuivra alors une carrière de Sénateur, jusqu'en 2008.

Romain Soubeyran, actuel directeur de MINES ParisTech, était bien placé pour mesurer la valeur de son héritage. « Il y a un avant et un après Pierre Laffitte à l'École des Mines », a t-il souligné. Saluant le pionnier dans le développement d'une recherche partenariale avec les entreprises, le directeur de MINES ParisTech a retracé l'histoire de la transformation de l'École du 60, boulevard Saint-Michel, à Paris.
Dès 1967, installation à Évry dans les locaux de Snecma (aujourd'hui groupe Safran) qui donnera naissance au Centre des matériaux. Dans le même temps, création des centres de l'École à Fontainebleau. Et dans la foulée, « en 1969, Pierre, lance l'idée de la technopole de Sophia Antipolis dont l'École des mines sera parmi les premiers occupants. (…) Il fallait être audacieux, visionnaire même, pour lancer un tel projet, et remarquablement pragmatique et habile pour arriver à le concrétiser ».

Le modèle des mines de Paris

Dans un discours personnel, mais d'une grande portée générale, Armand Hatchuel, professeur co-responsable de la chaire Théorie et méthodes de la conception innovante, s'est fait le porte-parole de tous les membres de l'École.
« Dans la mémoire collective des Mines, dans sa culture profonde, celle qui se transmet de génération en génération, de professeur à élève, de chercheur confirmé à jeune chercheur, même les derniers arrivés entendent dire, apprennent et vérifient en pratique qu’il y a un "modèle des mines de Paris" ! Un modèle auquel ils s’attachent vite. Parce qu’il est fondé sur l’esprit scientifique bien sûr, mais surtout dans ce que cet esprit a de profondément humaniste ! Parce qu’il est fondé aussi sur l’innovation, sur la responsabilité et sur une véritable autonomie des équipes. (…)»
Sans se priver d'évoquer de savoureux souvenirs, le  concepteur de la théorie CK a, tenté d'analyser les raisons du succès des entreprises de Pierre Laffitte.
« La science mise au service du progrès collectif, la nécessité de traiter les phénomènes sociaux avec la plus grande rigueur, une approche profondément humaniste de la création sous toutes ses formes, un appel constant au devoir d’invention, une confiance sans faille dans la jeunesse…

Voilà cher Pierre, les potions magiques que tu nous as administrées, et dont nous ne cessons chaque jour de réinventer la recette ! »

Sophia Antipolis – L'utopie High Tech

Sophia Antipolis est non seulement la première technopole d'Europe, mais c'est aussi une pépinière d'entreprises qui produit la moitié de la richesse du département des Alpes Maritimes. « Créer la Florence du XXIe siècle », c'était l'ambition de Pierre Laffitte, Un pari osé en 1970,  à une époque où l'industrie lourde était reine… 
Ce reportage est à découvrir sur la chaine Public Sénat.

> Pour revivre cet événement

Vous avez dit "collector"?

Extraits du discours de Pierre Laffitte, le 24 octobre 1984 :
« L'avenir est à ceux qui osent et réalisent. Il nous est donc ouvert ».
« Il m'apparaît qu'en 1984, l'École des mines est un des rares lieux où l'enthousiasme, l'adaptabilité et l'imagination sont au pouvoir. Et après des années d'effort, on commence à le savoir à l'extérieur».

> En savoir plus sur Pierre Laffitte

À lire, sur le site de nice-matin, un beau portrait, en forme d'interview, sous la plume de Florence Buades, «Pierre Laffitte : "je suis un anarchique»