Appel à candidature : bourses L’OREAL-UNESCO

Postuler aux bourses FRANCE L’Oréal-UNESCO

En 2017, la Fondation L'Oréal remettra 30 Bourses :

 – d'un montant de 15000 euro à chacune des doctorantes récompensées,

 – d'un montant de 20 000 euro à chacune des post-doctorante récompensées.

  • Lancement de l’appel à candidature : 9 janvier 2017
  • Clôture des candidatures : 27 mars 2017 à minuit
  • Premier examen des candidatures par les experts : avril 2017
  • Sélection des Boursières par le jury : juin 2017
  • Cérémonie de remise des Bourses : octobre 2017

CONDITIONS

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Les débats du Monde – Développement durable

Programme

9h00 : Introduction du colloque

9h30 – 11h30 : Table ronde 1 – Les multinationales vont-elles remplacer les Etats dans la gouvernance du DD ?

11h30 – 13h00 : Table ronde 2 – Comment décider dans un contexte d’incertitude ?

14h00 – 15h30 : Table ronde 3 – La transition écologique est-elle l’ennemi de l’emploi ?

16h00 – 17h30 : Table ronde 4 – Quels systèmes d’évaluation pour intégrer le DD dans la prise de décision ?

Suivez le colloque en ligne

 


La Recherche à l’honneur

ParisTech rend hommage à ses chercheurs

De 17 h 30 à 18 h 30 :

  • Mot de bienvenue et discours d’introduction par Yves Poilane, Président de ParisTech
  • Présentation par Jean‐Louis Martin, Directeur de l’Institut d’Optique Graduate School
  • Remise des Prix de thèse ParisTech. Présentation de leur passion scientifique et de leur projet professionnel par les lauréats.
  • Présentation des lauréats des distinctions les plus significatives avec remise d’un cadeau.

De 18 h 30 à 20 h : Cocktail

Participation à confirmer avant le 22 janvier 2013


La RFID à l’épreuve de l’innovation responsable

Évaluation d'impact sur la vie privée, gestion de l'exposition humaine, éco-conception et recyclage
Quelles exigences et opportunités pour une approche responsable de l'innovation ?

L'identification par radiofréquences (RFID, Radio-Frequency IDentification) est un système technologique particulièrement exemplaire qui fait déjà partie de notre quotidien (télépéage, transports en commun, stations de ski, à la bibliothèque, à l'hôpital, sur les animaux, les arbres, les vêtements, etc.). Son déploiement à large échelle occupe aujourd'hui une place de choix dans les agendas politiques et industriels, et fait l'objet d'un débat public en construction. En effet, son objectif de traçabilité et son fonctionnement par radiofréquences placent ce complexe technologique au cœur de controverses socio-politiques et scientifiques émergentes, relatives à certains risques majeurs : atteinte à la vie privée, effets sanitaires, impact environnemental. Une approche réflexive devient nécessaire afin d'identifier les exigences et les opportunités pour une innovation responsable dans ce domaine.

Journée organisée par Télécom ParisTech, l'Observatoire pour l'innovation responsable et l'Institut interdisciplinaire de l'innovation

Lieu : Télécom ParisTec – 46, rue Barrault, Paris 75013

Entrée libre sur inscription (nombre de places limité)

Contact : Fabian Muniesa


Nadia Maïzi : « 2050 se façonne aujourd’hui »

Quelles énergies dans le monde pour 2050 ?

Nadia Maïzi, directrice du Centre de mathématiques appliquées de MINES ParisTech livre une vision panoramique des tendances de la consommation d'énergie dans le monde.
Elle démontre que « ce qui conditionne le monde dans lequel nous serons est bien plus engagé que ce que l’on croit ».
Ainsi, les infrastructures que l'on met en place en divers endroits du globe – par ex : Viaduc de Millau, en France, tour Burj Khalifa, à Dubaï ou gratte-ciels en bois imaginés par des architectes suédois – posent « la question des modes de vie, et au-delà, des comportements, qui seront au cœur des futurs enjeux énergétiques».

Les derniers débats sur le changement climatique ont confirmé que « les orientations sociales et leurs conséquences environnementales sont indissociables ». Pourtant on n'en tire guère de leçon et l'année 2017 est à la démesure : « modes de vie et d’organisation sociale semblent engagés, pour les prochaines décennies, dans le prolongement de ce que nous connaissons et dans une conscience indifférente de la question climatique » (…)

Parole de philosophe

Pour éclairer sa vision de l'avenir, Nadia Maïzi en appelle au philosophe Gaston Berger, inventeur du terme "prospective" (qui signifie étude des futurs possibles).

« Mais 2018 pourrait éclairer d’autres options, si une prise de conscience nous conduisait à remettre en question radicalement, collectivement et mondialement, nos modes de vie, à définir nos aspirations pour élaborer une autre destinée car « si, comme les individus, les sociétés sont fréquemment déçues, c'est qu'on leur offre ce qu'elles demandent et non ce qu'elles désirent véritablement, sans savoir l'exprimer de façon adéquate » (Gaston Berger)

Lire l'article en ligne

> Pour aller plus loin :

 La chaire Modélisation prospective au service du développement durable a vocation à faciliter la prise de décision à partir de scénarios d'avenirs possibles portant sur des questions de politiques énergie et climat, de développement industriel et de choix technologiques.


Le Rapport d’activité 2016 est en ligne

C'est par un éditorial à deux voix que s'ouvre le Rapport d'activité 2016 de MINES ParisTech.

Vincent Laflèche, directeur de MINES ParisTech souligne que « l'international et l'entrepreneuriat restent des axes pédagogiques forts ».

Jacques Aschenbroich, PDG de Valeo, président de son Conseil d'administration, invite l'École à « mobiliser ses compétences au service des grands enjeux de notre société et de nos entreprises ».

Le RA 2016 est à feuilleter ici, dans sa version enrichie de liens cliquables et de vidéos à visionner en ligne.


Recherche : l’École dans le Top 500 mondial

Publié chaque année au mois d'août, depuis 2003, le classement des 500 meilleures universités mondiales, établi par l’Université Jiao Tong de Shanghaï fait apparaître la France au 6e rang mondial, avec 20 établissements classés. MINES ParisTech, dans la tranche des 401-500 meilleures "universités" mondiales, figure au nombre des 20 meilleurs établissements français, tout comme l'École polytechnique.

> Pour en savoir +: lire l'article de Sciences et Avenir

Les critères d'évaluation du classement de Shanghaï

Le classement de Shanghaï ou Academic Ranking of World Universities (ARWU) recense :

  • le nombre de diplômés (alumni) ayant reçu un prix Nobel ou une médaille Fields (10 % de la note)
  • le nombre d'enseignants-chercheurs en exercice, titulaires d'un prix Nobel d'ou une médaille Fields (20 %)
  • le nombre de publications, dans l'année précédant le classement, dans les revues anglophones, Nature et Science (20 %) et les citations de ces articles (20 %)
  • le nombre de publications rattachées à l'université  (20 %)
  • la performance, rapportée au nombre d'enseignants-chercheurs (10 %)

Accéder à la méthodologie

MINES ParisTech, un établissement fameux pour sa recherche

Ce classement qui se concentre sur les performances de la recherche, sans prendre en compte la qualité de l'enseignement, met en relief l'intense activité menée par nos chercheurs.
À MINES ParisTech, c'est le partenariat étroit avec le monde de l'entreprise qui est le moteur de nombreuses avancées scientifiques. Le MINES ParisTech Research Day qui s'est tenu le 6 juin dernier, témoigne de cette dynamique. Chercheurs confirmés, jeunes créateurs de start-up, doctorants ont ainsi échangé avec des industriels et des business angels…
Retour en images sur cet événement :


Concours « étudiants et jeunes chercheurs »

Un concours proposé par La Fabrique de l'Industrie.

En partenariat avec la Direction générale des entreprises du Ministère de l’Économie et des Finances et les Echos start, La Fabrique de l’industrie lance sa première édition du concours « Étudiants et jeunes chercheurs ».

Alors si ton mémoire, ta thèse ou ton article traite de l’industrie, candidate avant le 31 janvier 2017, et tente de remporter les prix suivants :

  • THÈSE : prix de 3 000€
  • MÉMOIRE : prix de 1 500€
  • ARTICLE ou WORKING PAPER : prix de 1 000€

Le sujet doit être en lien avec le développement industriel et la compétitivité : formation, dialogue social, travail, emploi, mondialisation, innovation, marchés d’avenir, etc. c’est-à-dire sur tous les thèmes abordés par La Fabrique de l’industrie. Ces travaux peuvent avoir été rédigés en français ou en anglais.

Les candidats doivent avoir soutenu leurs thèses ou mémoires entre le 1er janvier 2014 et le 31 janvier 2017 ou bien être inscrits en doctorat (pour la catégorie article ou working paper).


Une école très prisée par les recruteurs

L'édition 2016 du Global Employability University Ranking, publiée le 16 novembre par le Times Higher Education, fait apparaître MINES ParisTech comme la 1re école d'ingénieurs française, du point de vue des recruteurs.
Ce palmarès mondial des universités et grandes écoles démontre les excellentes performances de la France. En termes d'employabilité de ses étudiants, elle arrive en 2e position (ex aequo avec le Royaume-Uni et l'Allemagne), derrière les EU, avec 11 établissements dans le Top 150 et 6 dans le Top 50.

L'école d'ingénieurs préférée des recruteurs

MINES ParisTech, 36e, est devancée, cette année, par les écoles de commerce HEC (21e) et l'EM Lyon (26e), qu'elle précédait l'an dernier. Devant Centrale Supélec (42e) et Polytechnique (43e) , elle demeure cependant l'école d'ingénieurs préférée des recruteurs mondiaux. Et la 1re du Top 10 des recruteurs français (comme le souligne Le Monde) !

Etablissements Classement
2016
Classement
2015
HEC 21 25
EM Lyon 26 64
ENS Paris 33 13
MINES ParisTech 36 22
Centrale Supélec 42 35
Polytechnique 43 36
Essec 74 65
Université Pierre et Marie Curie 87 105
Sciences Po 97 136
Université Paris Sud 113 115
Edhec 132 Abs

> Pour en savoir + :


L’EnaMoMa, pas encore reconnue, mais déjà très attendue

Entre les Mines et les Arts Déco, le partenariat n'est pas nouveau avec, notamment, une formation commune sur la couleur qui a démarré il y a 15 ans.
Idem, entre les Mines et Dauphine, qui cohabilitent le Master MTI (Management de la Technologie et de l'Innovation).
Aujourd'hui réunies au sein de PSL, les trois partenaires lancent une nouvelle grande école et ambitionnent de former les créateurs de mode de demain. Pour Julien Bohdanowicz, ils se caractériseront par « la capacité à être en rupture ».

MINES ParisTech ou l'ingénierie pédagogique

C'est en 2015, lors d'un Comité de pilotage de PSL que l'idée d'une nouvelle école a été lancée, par le directeur de l'Ensad, Marc Partouche. D'emblée, l'association des trois univers s'est imposée. À la création artistique et au design, intégrer la stratégie et le marketing, enseignés à Dauphine, et incorporer la « dimension ingénieur ».
Ce que MINES ParisTech va apporter ?
L'impression 3D, les matériaux, l'innovation liée au textile, et aussi, les systèmes de production et de logistique, adaptés aux petites séries… Domaines de recherche où les compétences des laboraoires de l'école d'ingénieurs jouissent d'une réputation internationale.
Ses deux partenaires lui délèguent aussi le management du projet. Et Julien Bohdanowicz, fort de son expérience avec la création de ParisTech Shanghai Jiao Tong, en 2012, se chargera d'élaborer un programme pédagogique accepté par les trois écoles…

Deux ans pour former des créateurs hors normes

La formation de Master, est limitée, à l'ouverture, à un très petit nombre d'élèves (15 seulement), ce qui permettra de « bien les suivre ».
La 1re année de cours, dans les locaux de l'Ensad, où tous les ateliers sont accessibles au même endroit. Et la 2e année, entièrement dédiée au grand projet de l'étudiant, incité à travailler en quasi autonomie, en utilisant les ressources des trois écoles. « L'accompagnement d'un étudiant qui se construit lui-même son univers», c'est là un mode d'éducation familier pour tous les enseignants-chercheurs de MINES ParisTech. Qu'il s'agisse des MIG, de l'Acte d'entreprendre, des projets de mécatronique, ou encore du stage de géologie, on bouscule aisément les habitudes, les horaires et les programmes. Et l'École s'apprête à mettre toutes ses compétences au service d'une certaine idée du futur, où les nouvelles technologies et les recherche de pointe en sciences de l'ingénieur permettront de revivifier le secteur de la mode et du luxe.

Des modules trans-écoles : la fertilisation croisée des univers

Sauf exception, on ne verra pas immédiatement des élèves des Mines postuler pour entrer à l'EnaMoMa. Mais cette école, qui aura bientôt son identité propre, a vocation à enrichir les cursus de formation offerts à nos futurs ingénieurs. « Les mettre en contact avec des étudiants, issus d'autres formations et d'autres origines, c'est la meilleure chose qu'on puisse leur offrir ! »

Des modules trans-écoles sont ainsi prévus pour que futurs créateurs, ingénieurs et managers travaillent ensemble pour répondre à des questions soulevées par des entreprises.

La formule a déja été testée tout au long de l'année 201-2017, avec une vingtaine d'élèves volontaires des Arts Déco, des Mines et de Dauphine. Un groupe a travaillé sur une demande de la Croix Rouge, un autre pour Agnès B et le 3e, autour d'un texte du poète portuguais Fernando Pessoa.

> Pour en savoir plus :