Comment trouver un logement proche du campus de l’école, dans d’autres grandes villes de France et à l’étranger ?

Comment trouver un logement proche du campus de l’école, dans d’autres grandes villes de France et à l’étranger ?
MINES ParisTech se retrouve au sein des meilleurs établissements mondiaux, selon le classement 2016-2017 du Times Higher Education (THE) .
Si les positions françaises sont globalement en baissse dans cette nouvelle édition, l'École y retrouve sa place dans les 251-300e rang mondiaux et se classe au 9e rang national.
On note la présence de 5 Grandes écoles dans le "Top 10" des établissements français. Selon Phil Baty du THE, cela s'explique notamment par "leur capacité à collaborer avec des chercheurs dans le monde entier".
Il souligne par ailleurs que "MINES ParisTech est l'un des meilleurs établissements du monde pour attirer l'argent du secteur industriel."
La méthodologie du THE inclut treize indicateurs de performance répartis dans cinq catégories :
> Voir la page du THE consacrée à MINES ParisTech
> Lire l'analyse de Baptiste Legout sur EducPros.fr
Un concours proposé par La Fabrique de l'Industrie.
En partenariat avec la Direction générale des entreprises du Ministère de l’Économie et des Finances et les Echos start, La Fabrique de l’industrie lance sa première édition du concours « Étudiants et jeunes chercheurs ».
Alors si ton mémoire, ta thèse ou ton article traite de l’industrie, candidate avant le 31 janvier 2017, et tente de remporter les prix suivants :
Le sujet doit être en lien avec le développement industriel et la compétitivité : formation, dialogue social, travail, emploi, mondialisation, innovation, marchés d’avenir, etc. c’est-à-dire sur tous les thèmes abordés par La Fabrique de l’industrie. Ces travaux peuvent avoir été rédigés en français ou en anglais.
Les candidats doivent avoir soutenu leurs thèses ou mémoires entre le 1er janvier 2014 et le 31 janvier 2017 ou bien être inscrits en doctorat (pour la catégorie article ou working paper).
L'édition 2016 du Global Employability University Ranking, publiée le 16 novembre par le Times Higher Education, fait apparaître MINES ParisTech comme la 1re école d'ingénieurs française, du point de vue des recruteurs.
Ce palmarès mondial des universités et grandes écoles démontre les excellentes performances de la France. En termes d'employabilité de ses étudiants, elle arrive en 2e position (ex aequo avec le Royaume-Uni et l'Allemagne), derrière les EU, avec 11 établissements dans le Top 150 et 6 dans le Top 50.
MINES ParisTech, 36e, est devancée, cette année, par les écoles de commerce HEC (21e) et l'EM Lyon (26e), qu'elle précédait l'an dernier. Devant Centrale Supélec (42e) et Polytechnique (43e) , elle demeure cependant l'école d'ingénieurs préférée des recruteurs mondiaux. Et la 1re du Top 10 des recruteurs français (comme le souligne Le Monde) !
Etablissements |
Classement 2016 |
Classement 2015 |
---|---|---|
HEC | 21 | 25 |
EM Lyon | 26 | 64 |
ENS Paris | 33 | 13 |
MINES ParisTech | 36 | 22 |
Centrale Supélec | 42 | 35 |
Polytechnique | 43 | 36 |
Essec | 74 | 65 |
Université Pierre et Marie Curie | 87 | 105 |
Sciences Po | 97 | 136 |
Université Paris Sud | 113 | 115 |
Edhec | 132 | Abs |
> Pour en savoir + :
Entre les Mines et les Arts Déco, le partenariat n'est pas nouveau avec, notamment, une formation commune sur la couleur qui a démarré il y a 15 ans.
Idem, entre les Mines et Dauphine, qui cohabilitent le Master MTI (Management de la Technologie et de l'Innovation).
Aujourd'hui réunies au sein de PSL, les trois partenaires lancent une nouvelle grande école et ambitionnent de former les créateurs de mode de demain. Pour Julien Bohdanowicz, ils se caractériseront par « la capacité à être en rupture ».
C'est en 2015, lors d'un Comité de pilotage de PSL que l'idée d'une nouvelle école a été lancée, par le directeur de l'Ensad, Marc Partouche. D'emblée, l'association des trois univers s'est imposée. À la création artistique et au design, intégrer la stratégie et le marketing, enseignés à Dauphine, et incorporer la « dimension ingénieur ».
Ce que MINES ParisTech va apporter ?
L'impression 3D, les matériaux, l'innovation liée au textile, et aussi, les systèmes de production et de logistique, adaptés aux petites séries… Domaines de recherche où les compétences des laboraoires de l'école d'ingénieurs jouissent d'une réputation internationale.
Ses deux partenaires lui délèguent aussi le management du projet. Et Julien Bohdanowicz, fort de son expérience avec la création de ParisTech Shanghai Jiao Tong, en 2012, se chargera d'élaborer un programme pédagogique accepté par les trois écoles…
La formation de Master, est limitée, à l'ouverture, à un très petit nombre d'élèves (15 seulement), ce qui permettra de « bien les suivre ».
La 1re année de cours, dans les locaux de l'Ensad, où tous les ateliers sont accessibles au même endroit. Et la 2e année, entièrement dédiée au grand projet de l'étudiant, incité à travailler en quasi autonomie, en utilisant les ressources des trois écoles. « L'accompagnement d'un étudiant qui se construit lui-même son univers», c'est là un mode d'éducation familier pour tous les enseignants-chercheurs de MINES ParisTech. Qu'il s'agisse des MIG, de l'Acte d'entreprendre, des projets de mécatronique, ou encore du stage de géologie, on bouscule aisément les habitudes, les horaires et les programmes. Et l'École s'apprête à mettre toutes ses compétences au service d'une certaine idée du futur, où les nouvelles technologies et les recherche de pointe en sciences de l'ingénieur permettront de revivifier le secteur de la mode et du luxe.
Sauf exception, on ne verra pas immédiatement des élèves des Mines postuler pour entrer à l'EnaMoMa. Mais cette école, qui aura bientôt son identité propre, a vocation à enrichir les cursus de formation offerts à nos futurs ingénieurs. « Les mettre en contact avec des étudiants, issus d'autres formations et d'autres origines, c'est la meilleure chose qu'on puisse leur offrir ! »
Des modules trans-écoles sont ainsi prévus pour que futurs créateurs, ingénieurs et managers travaillent ensemble pour répondre à des questions soulevées par des entreprises.
La formule a déja été testée tout au long de l'année 201-2017, avec une vingtaine d'élèves volontaires des Arts Déco, des Mines et de Dauphine. Un groupe a travaillé sur une demande de la Croix Rouge, un autre pour Agnès B et le 3e, autour d'un texte du poète portuguais Fernando Pessoa.
> Pour en savoir plus :
"De nouvelles opportunités apparaissent, qui vont permettre à l'École de valoriser encore davantage son rôle de passeur de science", annonce Romain Soubeyran, directeur de MINES ParisTech dans son éditorial.
Partez à la découverte de l'offre de formation de l'École, de ses 18 centres de recherche et leurs projets les plus significatifs. Retrouvez aussi les chiffres clés de l'École, ou encore les faits marquants de l'année écoulée et les récompenses obtenues par ses chercheurs en 2013.
Visionnez le Rapport d'activité 2013…
La cérémonie d'anniversaire a été préparée, en secret, par la Fondation Sophia Antipolis, en partenariat avec le magazine Sophia Mag. Convié pour une « réunion de travail », dans les locaux de MINES ParisTech, Pierre Laffitte a été accueilli par une standing ovation. Dans l'amphi Mozart, ses amis de tous bords – chefs d'entreprises, artistes, directeurs de grandes écoles, professeurs, chercheurs et élus locaux – sont venus évoquer le passé et parler d'avenir. Impossible de retracer ici ses multiples engagements, une thèse n'y suffirait pas ! La célébration de ses 90 printemps a heureusement permis de remettre en lumière les innombrables facettes d'une personnalité visionnaire.
Sans lui, comment imaginer ce que serait MINES ParisTech aujourd'hui ?
Polytechnicien, Pierre Laffitte intègre le corps des Mines, en 1947. En 1963, il est nommé sous-directeur de l'École des mines de Paris, puis directeur de 1974 à 1984. Il poursuivra alors une carrière de Sénateur, jusqu'en 2008.
Romain Soubeyran, actuel directeur de MINES ParisTech, était bien placé pour mesurer la valeur de son héritage. « Il y a un avant et un après Pierre Laffitte à l'École des Mines », a t-il souligné. Saluant le pionnier dans le développement d'une recherche partenariale avec les entreprises, le directeur de MINES ParisTech a retracé l'histoire de la transformation de l'École du 60, boulevard Saint-Michel, à Paris.
Dès 1967, installation à Évry dans les locaux de Snecma (aujourd'hui groupe Safran) qui donnera naissance au Centre des matériaux. Dans le même temps, création des centres de l'École à Fontainebleau. Et dans la foulée, « en 1969, Pierre, lance l'idée de la technopole de Sophia Antipolis dont l'École des mines sera parmi les premiers occupants. (…) Il fallait être audacieux, visionnaire même, pour lancer un tel projet, et remarquablement pragmatique et habile pour arriver à le concrétiser ».
Dans un discours personnel, mais d'une grande portée générale, Armand Hatchuel, professeur co-responsable de la chaire Théorie et méthodes de la conception innovante, s'est fait le porte-parole de tous les membres de l'École.
« Dans la mémoire collective des Mines, dans sa culture profonde, celle qui se transmet de génération en génération, de professeur à élève, de chercheur confirmé à jeune chercheur, même les derniers arrivés entendent dire, apprennent et vérifient en pratique qu’il y a un "modèle des mines de Paris" ! Un modèle auquel ils s’attachent vite. Parce qu’il est fondé sur l’esprit scientifique bien sûr, mais surtout dans ce que cet esprit a de profondément humaniste ! Parce qu’il est fondé aussi sur l’innovation, sur la responsabilité et sur une véritable autonomie des équipes. (…)»
Sans se priver d'évoquer de savoureux souvenirs, le concepteur de la théorie CK a, tenté d'analyser les raisons du succès des entreprises de Pierre Laffitte.
« La science mise au service du progrès collectif, la nécessité de traiter les phénomènes sociaux avec la plus grande rigueur, une approche profondément humaniste de la création sous toutes ses formes, un appel constant au devoir d’invention, une confiance sans faille dans la jeunesse…
Voilà cher Pierre, les potions magiques que tu nous as administrées, et dont nous ne cessons chaque jour de réinventer la recette ! »
Sophia Antipolis – L'utopie High Tech
Sophia Antipolis est non seulement la première technopole d'Europe, mais c'est aussi une pépinière d'entreprises qui produit la moitié de la richesse du département des Alpes Maritimes. « Créer la Florence du XXIe siècle », c'était l'ambition de Pierre Laffitte, Un pari osé en 1970, à une époque où l'industrie lourde était reine… |
> Pour revivre cet événement
Vous avez dit "collector"?
Extraits du discours de Pierre Laffitte, le 24 octobre 1984 :
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> En savoir plus sur Pierre Laffitte
À lire, sur le site de nice-matin, un beau portrait, en forme d'interview, sous la plume de Florence Buades, «Pierre Laffitte : "je suis un anarchique»
"La construction de PSL conforte notre visibilité auprès des entreprises françaises et aussi étrangères", déclare Romain Soubeyran, directeur de MINES ParisTech dans son éditorial.
Partez à la découverte de l'offre de formation de l'École, de ses 18 centres de recherche et leurs projets les plus significatifs. Retrouvez aussi les chiffres clés de l'École, ou encore les faits marquants de l'année écoulée et les récompenses obtenues par ses chercheurs en 2014.
Visionnez le Rapport d'activité 2014…
"L'École dispose de bases solides pour affronter les défis à venir", souligne Romain Soubeyran, directeur de MINES ParisTech dans son éditorial.
Partez à la découverte de l'offre de formation de l'École, de ses 18 centres de recherche et leurs projets les plus significatifs. Retrouvez aussi les chiffres clés de l'École, ou encore les faits marquants de l'année écoulée et les récompenses obtenues par ses chercheurs en 2012.
MINES ParisTech entre dans le Top 200 des meilleurs établissements mondiaux, selon le classement 2013 du Times Higher Education (THE) (*).
L'an dernier, l'École d'ingénieurs entrait pour la première fois dans ce classement prestigieux où elle figurait dans les 226 à 250 rangs (sur 400). Son score, cette année, est d'autant plus remarquable que les universités françaises ont tendance à perdre du terrain.
La méthodologie du THE inclut treize indicateurs de performance répartis dans cinq catégories :
(*) Le Times Higher Education (THE), hebdomadaire consacré à l'enseignement supérieur, publie chaque année à l'automne, depuis 2004, un classement des meilleures universités mondiales.
Le journal britannique exclut de son champ les universités qui n'ont pas de premier cycle, celles qui n'enseignent que dans un « domaine très spécialisé », et celles dont la production en recherche a été inférieure à 1 000 articles entre 2007 et 2011.
Voir la page consacrée à MINES ParisTech